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histoire de la "petite chose"
Par Douce-Kajira dans Mes étapes le 26 Septembre 2012 à 13:02Tags : chose, maitre, petit, route, bienJe vais vous raconter mon histoire de la "petite chose", comme on l'appelle chez nous .
C'est une amie qui me l'a offert cette petite chose, bien gentiment . Elle nous mis en garde contre ses caprices de fonctionnements. Mais cela ne sembla pas gêner mon Maître. Il me le mis dans la main ce matin là voulant d'abord voir comment il vibrait. Je me demandais bien comment une si petite chose pouvait être diabolique ?
Elle était inerte, froide, tenant à peine au creux de ma main, petite chose bien insignifiante, froide et sans vie .
Mon Maître s’escrimait à la mettre en route. Il triturait les commandes, mais elles refusaient de lui obéir et la petite chose restait inerte. Impatient, il fini par l'ouvrir, lui ôter toutes les piles ( c'est fou ce que ça demande comme énergie) les remis en place , rappuya sur les boutons ... et je poussais un petit cri de surprise quand l'engin se mit enfin en marche. La petite chose chose vibrait doucement au creux de ma main, je ressenti alors comme un chatouillis dans mon ventre et aussitôt je me mis à mouiller. Mon Maître l'arrêta et voulu me le mettre tout de suite dans le sexe (dans la chatte pour Monsieur Zorr) . Cela ne lui fut pas difficile, et la chose glissa doucement en moi, écartant tendrement mes chairs intimes pour finalement se lover au creux de moi. Je le sentais tiède, doux, léger, agréable.
Je me remis debout et nous primes la direction de la station de tram la plus proche. Ayant un peu de temps devant nous, Maître décida de l'essayer tout de suite. Je le voyais qui cherchait au fond de sa poche à la mettre en route. IL me demandait du regard si c'était fait et je lui disais non, non, toujours pas. Au bout d'un moment excédé, il sorti la télécommande de sa poche et appuya sur les boutons. Je sursautais et là ce fut lui qui rit, on aurai dit qu'une guêpe m'avait piqué.
C’était comme si des milliers de fourmis m'avaient envahie ! Quelle sensation fantastique ! Je ne suis pas habituée aux vibrations je dois dire que c'est divin. Tout votre sexe d'un coup était comme en extase. Le tram arrivant mon Maître éteignit la petite chose. Je repris alors ma respiration, je ne m'étais même pas rendue compte que j'étais restée tout ce temps en apnée. Heureusement que pour cette fois ci mon Maître m'avait autoriser la culotte. J'étais déjà détrempée.
Le tram nous déposa en ville et mon Maître remis l'engin en vie . Il essaya plusieurs rythmes différents. Tant qu'il n'arrêtait pas la chose j'arrivais à gérer les vibrations, mais les arrêts et les remises en route successifs me faisaient sursauter à chaque fois. J'étais rouge de honte chaque fois qu'inexplicablement je sursautais et que nous croisions des passants.
Mon Maître prenait un malin plaisir à ne le faire que lorsque nous croisions quelqu'un .... bien évidement !
Mais je n'étais pas au bout de mes peines, mais était ce vraiment des peines? Il nous dirigea enfin vers notre café.Je pensais pouvoir souffler. Je me disais, assise je sursauterai moins, du moins c'est ce que je croyais.
Nous entrâmes dans l'estaminet (lol j'adore ce mot) et Maître choisi une table plutôt en retrait et discrète. Et là j'ai eu peur, vraiment ... Pourquoi peur , Que je vous dise cela !
Dehors, avec les bruits de la ville nous n'entendions pas la chose lorsqu'elle vibrait, mais là, dans ce lieu clos, à cette table discrète, dans cet établissement où les gens sont bien éduqués et parlent bas, le bruit ambiant n'était pas suffisant et le vrombissement de la chose s'entendait très bien, du moins dans un périmètre proche de notre table.
Maître voulu interrompre ce bruit impromptu dans un tel lieu et là .... horreur la chose décida à ce moment là de ne pas s'arrêter. Le serveur approchait, il s'arrêta pour servir une table, la chose vibrait toujours, puis il se dirigea vers nous. Maître n'avait pas besoin de me demander pour savoir s'il avait réussit à l'éteindre, il l'entendait. Et le serveur qui approchait tous sourires et la chose qui vibrait toujours.
J'étais rouge, que dis-je rouge ! J'étais écarlate, cramoisie, et je sentais cette chose vibrer en moi du mieux qu'elle pouvait, et j'entendais sa petite musique de victoire... Le serveur était là. Il s'arrêta, perplexe, tournant la tête, il se retourna, cherchant d’où pouvait bien venir ce drôle de bruit ? Puis voyant ma gêne manifeste, il hocha la tête d'un air entendu, souris comme jamais il n'avait du le faire, si vous n'avez jamais vu sourire un âne, moi je l'ai vu ce jour là ! Il me regarda en inclinant la tête plusieurs fois, fit un clin d’œil entendu à mon Maître qui dut lui répéter 3 fois notre commande, avant qu'il veuille bien s'éloigner .
Je ne savais plus ou me mettre , j'avais le sexe en feu, autant que mes joues, et je sentais cette satanée envie de jouir qui montait, qui montait... Pitié Maître arrêtez cet engin de malheur avant l'irréparable . Je commençais à avoir des difficultés pour respirer calmement, mon cœur était à 100 à l'heure, je pressais mes mains contre mon ventre, je serrais mes jambes autant que je le pouvais espérant en atténuer le bruit. Mais rien n'y fit , la chose se vengeait en ne s'arrêtant pas . Je sentais les vagues du plaisir monter, monter. Mon Maître voyant ce qui se passait re démonta la télécommande et retira les piles. D'un coup la chose s'arrêta, mais les vagues continuaient à arriver et je ne pus plus rien contrôler . Je crois que l'arrêt même de la chose fut le déclencheur .
Pour la première fois (et j’espère la seule fois) je jouis en public. Silencieusement la houle me pris, mon ventre rythmait en douceur la fureur des contractions de mon sexe. Je posais la tête sur le dossier de la banquette, crispais mes mains sur mon ventre, laissant les choses se faire. Mon Maître me regardait, cela ne pris pas plus de 2 minutes mais j'étais en nage, je coulais de partout. Le serveur revenait déjà avec notre commande, (étrange d'habitude il est plus long) je devais être rouge, je reprenais mon souffle (j'ai tendance à jouir en apnée ça m'évite de crier). Le serveur me regardait droit dans les yeux, je les baissais me sentant fautive. Je me sentais horriblement honteuse, je ne me suis jamais sentie aussi mal. Maître souriait, heureux de ce qui venait de m'arriver. Il donna la juste monnaie au serveur pour lui éviter de revenir. J'avais les mains qui tremblaient, le cœur qui cognait encore dans ma poitrine. Maître me sourit, vint s’asseoir près de moi et me prit dans ses bras où je me suis mise à pleurer.
Il me cajola un moment, le temps que je me remette . Nous sommes rentrés sans qu'il ne remette la chose en route. Maintenant j’appréhende qu'il ne me redemande de remettre la chose et d'aller nous promener. Mais quand je repense à cette histoire, depuis j'ai toujours le ventre qui palpite.
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